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13-08-2014 à 12:31
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J’observe que le remboursement de la dette publique est peu remis en cause
et très peu réfléchissent à ce qui la génère, il n'est envisagé que des
corrections de taux, alors que nous devons avant tout comprendre l’origine
de cette dette, sous peine de continuer à nous enfoncer dans cette impasse.
Pour améliorer notre économie.

trait

A partir des lectures sur le site du Cercle des ECHOS.


En vous lisant j’observe que la volonté de rembourser la dette publique n’est jamais remise en cause ni nos modes de fonctionnement, vous n'envisagez que des corrections de taux, alors que nous devons avant tout comprendre l’origine de cette dette, sous peine de continuer à nous enfoncer dans cette impasse.

Si l’émission monétaire était restée dans le giron des états, la dette aurait été absorbée avec une inflation régulière. Mais depuis la politique du « franc fort » initiée sous Giscard, le choix de défendre la monnaie est resté un dogme. Résultat accumulée par les profits des entreprises, puis par les financiers par les crédits et la spéculation, la masse monétaire disponible s’est retrouvée concentrée dans les grands groupes financiers et n’est plus disponible pour assurer les échanges économiques et industriels jusqu’aux fonctionnements des états, sauf en passant par les fourches caudines des établissements financiers. Par le levier de l’intérêt cette concentration s’accroit encore.

Initialement à force de préter aux entreprises les banques ont saturé leurs clientèles, elles se ont alors orientées vers les particuliers et via des prêts à la consommation elles ont asséché les finances des particuliers, clients de ces entreprises. Les difficultés économiques ont conduit les états à des efforts sociaux que les banques ont soutenus par leurs prêts aux états, parfois mêmes en jouant le double jeu du conseil et de la spéculation (la Grèce). Face à leurs excès des subprimes, les banques ont pris peur et imposé aux états de les soutenir, ce qu’ils ne pouvaient pas refuser de peur de voir s’écrouler la monnaie elle-même. Enfin les banques reprochent aux états leurs mauvaise gestion et leur impose de présurer leurs propres populations pour rembourser des crédits qu’elles les ont poussé à prendre sans aucune reconnaissance du fait que cette mauvaise gestion est en partie issue de l’aide que les états ont du leur accorder.

Mais imaginez une seconde que les états réussissent à rembourser tous ces crédits, que vont devenir ces masses gigantesques de monnaies rendues aux établissements financiers, que vont-ils en faire ? A qui vont-ils pouvoir les prêter ? Quel débiteur solvable existe au-delà des états, Si cet argent n’est pas placé il ne vit plus, il est mort et perd toute valeur. Ces établissements financiers ne peuvent même pas le dépenser ! Pour acheter quoi ? Qu’est ce qui vaut des milliards de dollars revendable sur le marché qui puisse intéresser un établissement financier ?

Voilà comment j’analyse cette dette, même si nous la remboursions nous aurions une crise majeure.

Reste qu’il faut assainir néanmoins les comptes, pour cela quand un fonctionnement nous a conduit à une situation catastrophique ce n’est pas par des bricolages que l’on pourra corriger ce fonctionnement, ainsi vouloir faire payer un peu plus les uns ou les autres revient à confirmer le principe de faire payer à la production ce qui fera encore grossir les financiers, or la production ralenti faute de liquidités. Quel que soit celui qui paye, ce ralentissement ne peut qu’en être accru. Tout prélèvement dans le circuit économique réduit son dynamisme.

Ma proposition est de changer la donne fondamentale qui arrive à ce constat d’échec, ce changement passe par une revalorisation de l’homme par rapport aux chiffres, sinon à quoi bon reverser encore plus d’argent dans le monde financier déjà saturés de capitaux ? D’accord on a des dettes, d’accord il n’est pas question de les annuler, mais il reste une autre solution ! Statut quo pour ces dettes pour le moment, stagnation de son montant mais proposons une réécriture du principe de prélèvement de ce qui pénalise le travail humain et le dévalorise. Or qu’est ce qui le pénalise : la solidarité traduite en charges sociales sur le salariat. La mécanisation ou le négoce n’ont pas cette exigence.

Comment rééquilibrer ces trois aspects de production de richesse ? En alignant l’exigence de solidarité sur toutes ces activités, c'est-à-dire en prélevant les charges sociales non pas sur le seul salariat mais sur l’ensemble de l’activité économique, traduite par la facturation. Appliquons les charges sociales sur la facturation au lieu des fiches de paye, et il y a de fortes chances que tout se remette en place, notamment un retour vers un plein emploi qui autorise en même temps un allègement des besoins sociaux et permet en plus d’envisager les remboursements des déficits par de meilleures rentrées fiscales.

Tout le dossier régulièrement actualisé est présenté ici, si vous accepter de sortir des idées actuelles même si cela fait des décennies que vous les peaufinez, vous verrez que c’est jouable et sacrément positif, nous devons savoir changer d’habitudes si nous ne voulons pas que celles-ci nous conduisent à de trop grands risques sociaux qui peuvent détruire une logique économique qui a produit tant de progrès.

Page écrite le 12-09-2010

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Intervenant retraitée EN - le 27-05-2011 à 10-08

 Il faudrait sans doute que toute l'Europe fasse de même et pourquoi pas tous les états ... je pense aux pays africains - malgache etc... qui jusqu'à présent ont été saignés à blanc par nos soins

Comment les mafias et les "maîtres du monde" vont-ils se nourrir et asseoir leur suprématie sur la planète avec de pareils procédés

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Intervenant claude-michel - le 28-09-2011 à 08-13

Pour l'instant il y a déséquilibre dans notre économie d'une part a cause de la dette, et surtout des marchés financiers (la bourse)...Les responsables ne sont hélas pas sanctionnés?...POURQUOI..?..Parce que ce système financier est pollué par des loueurs de casinos!...même les banques jouent à ce casino plutôt que de prêter de l'argent aux PME (c'est une réalité)...Arrêtons la spéculation en fermant les bourses, c'est la seule solution pour réguler l'économie...Mais qui va le faire?

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Intervenant Trazibule - le 28-09-2011 à 08-53

Beaucoup proposent des solutions radicales, mais je crois qu’elles restent des vœux sans espoir de réalisation.
Personnellement je pense qu’en créant des règles un peu différentes, telle qu’un déplacement de la fiscalisation du salariat sur les actions financières, tel que le propose la TAC ou la TEB, pourrait à terme redonner du poids aux valeurs humaines de travail au détriment des valeurs égoïstes des financiers.
Ce genre de mesure me semble possible à mettre en place par des états qui n’ont plus d’autres espoirs de relance.

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Intervenant Rémi - le 13-08-2014 à 10-40

Imaginons, que nous vivons pour la majorité d'entre nous, au dessus de nos moyens? ça fait mal a entendre,  mais force est de constater que celà est le cas si on compare notre train de vie à celui des peuples des pays non industrialisé....

Et que l' unique solution soit de jouer au "Casino de la Bourse" pour créer des richesses artificielles qui nous permettent de continuer cette fuite en avant.

Finalement .....

 

 

 

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