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Ce système économique est très malade, beaucoup de spécialistes très compétents savent en disséquer les causes et les effets, mais rares sont les propositions concrètes, alors en voici !
Brouillons pour une constitution.


Synthèse pour répondre à une critique de l'économie actuelle


Il existe en ce moment une croissance artificielle du fait que nombreux sont ceux qui ont perdu confiance en noter système économique actuel et qui redoutent par conséquence une inflation spectaculaire. Et pour s’en protéger, ils ont tendance à changer leurs valeurs monétaires et placements contre des valeurs matérielles.

Cela pourrait-avoir l’effet paradoxal de sauver ce système précisément par ceux qui ne croit plus en lui. Ce serait assez comique.

Reste que cette consommation passagère n’est pas production, le chômage et les fermetures d’entreprises continuent.

Le principe même des rachats d’entreprises libéral, permet d’acheter son concurrent à très bas prix pour récupérer tout ce qui est utile, y compris des subventions pour «garantir l’emploi», puis cela étant acquis fermer l’entreprise sous prétexte de délocalisation vers des cieux moins chers. Ainsi un concurrent en moins, des capitaux en plus et des machines, brevets et des compétences acquis.

Autre paradoxe : Quand une grande entreprise « française » fait produire à l’étranger pour vendre en France, elle appauvrit la France qui ne fait qu’acheter sans vendre, si elle produit à l’étranger pour vendre à l’étranger, l’argent ne rentre pas en France mais seulement dans le siège social de l’entreprise dite «française», qui a part d’éventuels impôts souvent diminués par de « bonnes » pratiques comptables ne profite pas vraiment au pays, sauf un chiffre fictif dans une balance commerciale.

Cette situation est analysée par beaucoup mais quelles solutions sont proposées. La plupart du temps les actions proposées ne cherchent qu’à diminuer l’un des effets négatifs sans prendre en compte les conséquences sur le reste de la société. Cela revient à atténuer un symptôme sans s’attaquer à la cause du problème.

Quelques causes de ces disfonctionnements


  • 1 - La principale cause internationale est l’inégalité des travailleurs en fonctions des entreprises faces à l’égalité des employeurs. La multinationale embauche où elle veut, mais le travailleur français coûte cher en charges sociales, il est forcément perdant face au travailleur chinois. C’est bien pour maintenir cette inégalité lucrative que toutes les directives économiques font tout pour interdire les barrières commerciales et libérer la libre circulation des capitaux mais limite en même temps la libre circulation des travailleurs, ce qui aboutit en bout de chaîne aux freins aux migrations et des reconduites à la frontière.

  • 2 - La seconde cause est l’inégalité des revenus du travail, celui qui est aux commandes perçoit beaucoup plus pour son travail que celui qui est la base, et la différence de compétence n’a aucune commune mesure avec la différence de salaire. Le dirigeant peut s’approprier une part des revenus générés par le dirigé, sans autre limite que celle de la concurrence, et comme celle-ci diminue dans les faits par le regroupement des entreprises, ce frein ne fonctionne plus.

  • 3 - Autre cause : La surproduction qui avec la technologie peut dépasser les besoins réels d’une population, ce qui nécessite l’émergence d’aides ou de subventions forcément inégalitaires, une recherche inavouée de gaspillages programmés, (voir les achats gouvernementaux de fruits détruits pour maintenir les coûts). Une réduction de production avec une réduction du temps de travail à revenu égal serait logiques mais sont interdit par le dictat actuel de la motion de croissance, et des circuits de distributions complexes et non concurrentiels qui gonfle artificiellement la demande, les prix et les stocks.

  • 4 - Autre cause, l’inégalité de la répartition des marchandises entre pays qui fait que certains pays croulent sous les excédents et ne savent plus quoi inventer pour trouver encore acquéreur parmi une population saturée quitte à remplir des poubelles d’heures de travail gaspillées. D’autre pays croulent sous les problèmes dus aux manques de tout, nourriture, santé, éducation, transports, logements, sécurité, et même stabilité gouvernementale ce qui en fait en plus des proies faciles à tous les prédateurs économiques, politiques ou même religieux.

  • 5 - Enfin une autre cause est le fonctionnement du crédit bancaire, qui fait que moins une entreprise a besoin de crédit plus on lui en propose en plus à un taux si bas, qu’il arrive qu’elle emprunte rien que pour placer ces fonds dans le jeu boursier.

    Quand tous les instruments d’échanges à savoir la monnaie passent dans les mêmes poches, l’échange s’arrête faute d’interlocuteur. C’est ce qu’on observe aujourd’hui.


Récapitulons : Inégalités des travailleurs face aux entreprises, excès de productions gaspillés, mauvaise répartition des revenus du travail, inégalité de la répartition des marchandises, illogismes du crédit bancaire.

Alors reconstruisons tout cela :



Le principe essentiel est symbolique : une définition de l’économie qui n’est pas la science du rendement maximal mais doit devenir la science de l’équilibre des échanges afin d’en assurer leur pérennité.

  • 1 - A partir de cela comment rétablir l’égalité entre travailleurs ?

    Voir la TAC et toutes les pages annexes qui dissocie le cout du travail des aides sociales. Ainsi les travailleurs sont moins en inégalité face aux entreprises. Voir aussi le revenu de vie qui conduit au plein emploi via une solution rénivée pour le fonctionnement des aides sociales.

  • 2 - Comment rétablir les revenus du travail ?

    Cela passe par une diminution des salaires des dirigeants, impossible car aucun n’acceptera une diminution de revenus, il faut donc agir plus subtilement :

    En instaurant une concurrence nouvelle qui permette de favoriser l’entreprise plus équilibrée dans ses répartitions de profits, cela passe par une réforme de la comptabilité, qui tient compte de l’utilité sociale de l’entreprise, ainsi la rentabilité d’une entreprise prend en compte sa qualité de distribution des marchandises et des profits.

    Cela passe aussi par une réforme de l’actionnariat : La situation actuelle fait qu’une entreprise n’est rentable que quand on la revend, elle est devenue marchandise elle-même qui ne rapporte que par une marge au moment de la passation de propriété. Elle ne doit plus pouvoir changer de main sur la moindre impulsion. Un prélèvement sur les échanges monétaires, sera un frein à cette instabilité de l’actionnariat et lui propose une vue à plus long terme de la vie de l’entreprise pour faire des profits, plutôt que viser tout simplement au changement d’entreprise pour faire une plus value. En effet si l’échange devient plus couteux et n’est rentable qu’à un certain niveau de différentiel, l’actionnaire choisira à terme une recherche de bénéfice dans son fonctionnement interne plutôt qu’une recherche de plus value de l’action. Alors s’imposera la question des revenus des dirigeants et favorisera le meilleur gestionnaire en production à la place du plus malin financièrement. Un bon gestionnaire sait qu’un bon fonctionnement de son groupe dépend aussi de son salaire. Un actionnaire fidèle sait de même que son profit dépendra d’une bonne morale salariale.

  • 3 - Comment limiter une surproduction ?

    Si déjà le travail humain reprend sa place face au machinisme, contrairement à la machine investi que l’on doit rentabiliser à tout prix, le travail humain est plus souple et sait s’arrêter dès que les demandes sont rassasiées. A condition bien sur qu’une réforme des contrats de travail soit devenue possible avec un retour au plein emploi qui adouci les angoisses des licenciements. Avec le plein emploi, les travailleurs peuvent choisir leur entreprise, cela simplifie comme par magie tous les problèmes de contrat de travail, qui redeviennent des vrais contrats de gré à gré grâce à cette égalité retrouvée.

  • 4 - Comment rétablir une égalité de distribution de marchandises ?

    Cela passe par une reconstruction de la monnaie qui n’aurait plus comme étalon la seule confiance envers le pays qui l’émet ce qui par définition dévalorise l’autre pays. Cela donne un change entre monnaie qui fait que le pays sous-développé est payé pour son travail en monnaie sans valeur mais doit payer pour ses besoins avec une monnaie de grande valeur. Jamais ce genre de pays ne peut s’en sortir. Il faut donc proposer une monnaie plus égalitaire construite sur un étalon universel valable pour tous les pays, ceci est proposé ici.

    Suivant la définition économique proposée plus haut, l’échange commercial entre le pays riche et le pays pauvre devra se soumettre à une réglementation qui doit veiller à un bon équilibre de l’échange sous toutes ses conséquences. Plus question de payer le dirigeant d’un pays exportateur ou d’une grande entreprise et non ses travailleurs. De la réforme de la comptabilité de l’entreprise incluant son utilité sociale doit découler des principes commerciaux plus moraux. Ces idées sont encore mal construites, mais il devrait être par comptabilité, moins facile de réaliser un achat par une entreprise qui ne soit pas utile à toute l’entreprise et non a ses seuls dirigeants.

    En tout cas, un échange trop payé ou sous-payé doit pouvoir être freiné soit par une obligation de publication permettant à une concurrence de se proposer, soit par une rectification règlementaire des termes de l’échange.

  • 5 - Comment changer ces préférences bancaires illogiques?

    Cela est inclus dans la construction d’une nouvelle monnaie sociale et démocratique qui n’est plus soumis à un pouvoir autoritaire ou une compétence technique. Cette monnaie favorise dons son fonctionnement le retour vers la moyenne en facilitant la sortie de la pauvreté et en freinant l’envol vers la richesse. Le fonctionnement même de cette monnaie devrait rendre très difficile d’être très riche mais aussi quasiment impossible d’être très pauvre. Voir cette proposition .

Voilà un système que je crois complet, reste à mettre en place une stratégie pour faire ces changements. J’ai déjà quelques pistes, mais la première phase consiste déjà à convaincre un nombre suffisant de personnes pour que l’idée soit déjà admissible, et surtout qu’elle soit améliorée. Exemple je cherche un passionné de comptabilité pour produire une proposition plus réaliste de réforme de comptabilité des entreprises, une des premières pièces du puzzle.

Page écrite le 5 octobre 2009

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Intervenant Bal - le 25-08-2011 à 16-51

l’échange commercial entre le pays riche et le pays pauvre devra se soumettre à une réglementation qui doit veiller à un bon équilibre de l’échange sous toutes ses conséquences.

Reste à trouver et faire l'inventaire de tous les paramètres de "l'équilibre". Pas simple. Car c'est une notion en partie subjective. Il y a des échanges dont les valeurs peuvent différer d'un pays, d'une région à une autre, pour ne parler que de cela.

Il n'y aura donc pas d'étalon universel possible si l'on reste dans le vague de "l'équilibre".

Il faut d'abord définir "l'équilibre" d'un échange. Ce n'est comparable à une balance, il faut trouver un autre mot pour qualifier les échanges.

Pourrait-on par exemple qualifier d'équilibré un échange où une partie proportionelle de chaque population concernée est satisfaite par cet échange ? On aurait des chiffres et non plus une notion abstraite (l'équilibre). C'est une piste parmi d'autres...

En définitive, il faut toujours passer par des quantifications pour paramétrer un échange. Et c'est sur des chiffres qu'il faut analyser, paufiner le dit "équilibre".

Intervenant Trazibule - le 27-08-2011 à 10-07

C’est exact, l’équilibre est une vraie question. C’est pour cela qu’il faut une science économique qui s’intéresse vraiment à cette recherche.

Quand celui qui a trop de blé échange son blé qui risque d’être gaspillé contre le vin de celui qui a trop de vin qui ne serait donc pas bu, la question de l’équilibre ne se pose guère.

Mais quand des mineurs triment jusqu’à la mort pour extraire des diamants de grande valeurs contre un salaire très faible et payé en monnaie sans valeur, l’évidence du déséquilibre est flagrant.

Entre ces deux extrêmes, la recherche des critères d’équilibre est vaste, quand les deux partenaires de l’échange se trouvent satisfaits de l’échange, leur sourire est déjà un signe d’équilibre, mais si l’échange est contraint, qu’une domination impose à l’un des deux l’acceptation de conditions qu’il juge insuffisante cela signifie un déséquilibre.

L’idée du capitalisme libéral est précisément de s’appuyer sur cette liberté des échanges qui devraient conduire à des échanges équilibrés. Mais de même que la générosité de l’idée du communisme a été détournée vers le stalinisme en utilisant l’idée de partage pour imposer une collectivisation forcée, cet idéal du capitalisme libéral a été détourné en utilisant l’idée de liberté pour se sentir libre d’imposer des échanges forcés. Cela part de la propagande pour les uns et la séduction publicitaire pour les autres, jusqu’à l’injustice de la rééducation pour les uns et celles des changes monétaires pour les autres, et pour tous cela va jusqu’à la guerre et les génocides.

L’équilibre est toute une science à mettre en place, mais à la base, il faudrait au moins que les mesures numériques puissent utiliser un outil fiable. C’est une des briques de la construction proposée, une monnaie établie sur le seul étalon universel quel que soit le lieu et l’époque : Le temps. (voir les pages sur la monnaie)

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