Bilan des incohérences des délires sur la situation actuelle,
pour espérer revenir à un peu plus de sérénité
Hystérie collective provoquée
D’un coté je suis particulièrement énervé du battage médiatique anxiogène sur le Covid, surtout que je suis allé vérifier les
chiffres publiés dans les statistiques officielles de l’INSEE et qu’ils sont très loin de l’ampleur
catastrophique décrite, en découvrant au passage une surprenante dissimulation de données.
Je suis choqué aussi de voir publier la courbe de mortalité cumulée en expliquant « vous voyez la courbe monte ! » comme si un jour elle pouvait descendre, d’autant que les ressuscités sont relativement rares.
Oui les courbes remontent, comme tous les automnes, depuis la nuit des temps, les anciens qui ont réussi à passer l’été sont achevés par les premiers froids.
D’un autre le masque est une belle hypocrisie, quand on voit comment beaucoup de gens les ont fabriqués pour eux-mêmes, avec parfois beaucoup d’humour, donc ils ne sont pas jetés, mais lavés de temps en temps, et comment ils les utilisent n’importe comment.
D’autre part le classement mondial des systèmes de santé dégrade la France presque d’une place chaque année, nos infirmières sont sous-payées, et nous manquons de médecins au point de récupérer des médecins de pays qui en ont encore bien plus besoin que nous !
L’état est conseillé par des médecins qui ont tous plus ou moins étés rémunérés par des laboratoires de recherche privé, et refuse d’écouter les travaux de la recherche scientifique travaillant au CNRS sur le virus.
Ensuite les décisions actuelles sont faites dans l’esprit commercial, l’état a donné un milliard à Sanofi pour créer et commercialiser un vaccin avec toutes les garanties commerciales, mais n’a rien donné aux chercheurs qui eux seraient capables de comprendre le fonctionnement du virus lui-même.
Cet esprit commercial a mis en place la rémunération des soins à l’acte, qui sont tous bien décrits, ce qui interdit l’innovation, et freine la prévention.
L’état a aussi contredit le serment d’Hippocrate affirmant l’indépendance des médecins pour soigner de la meilleure façon possible en fonction de leurs propres convictions, en leur imposant l’utilisation ou l’interdiction de tel ou tel médicament.
La cohérence des interdictions est délirante, comme si le virus n’attaquait qu’à certaines heures, et certains lieux, dans la même rue un bar a le droit d’ouvrir un autre de fermer, juste pour raison cadastrale, le virus serait-il expert en géographie administrative ?
Alors ça suffit cette hystérie collective, revenons à plus de sagesse, oui le virus tue comme toutes les autres grippes, de toute façon nous devrons bien mourir de quelque chose un jour ou l’autre. Il est logique que la plupart des décès d’une personne âgée lui soit affecté.
Le meilleur moyen de gérer un pays est d’utiliser la peur, (les mafias utilisent aussi la même arme) et ça marche : finit toutes les manifestations de gilets jaunes, de personnels hospitaliers, d’avocats, de chômeurs, de soutient aux migrants, et beaucoup d’autres raisons.
Pour moi le fait même de nommer « distanciation sociale » ce qui devrait être « distance sanitaire » bien plus simple à dire, révèle l’état d’esprit de nos dirigeants.
Nous assistons aussi à une impressionnante valse de milliards et de pertes d’emploi qui n’augure rien de bon. D’ailleurs les budgets militaires et policiers croissent allègrement.
Mes conclusions :
Pour ceux qui font commerce de la santé, la bonne santé est une catastrophe commerciale.
Soumettre par la peur permet tous les abus de pouvoir.
Je préfère mourir libre que vivre soumis et masqué.