Brouillons pour un projet de constitution
Des pistes pour l'énergie
Le problème n'est pas de trouver une solution pour le carburant ou l'énergie. Techniquement faire rouler une voiture à l'huile, à l'eau, au gaz, à l'air comprimé, peu de problèmes beaucoup de solutions, même pendant la guerre, où il n'y avait plus rien, elles roulaient au bois ! Grace aux gazogènes.
Le problème ne vient que du fait que l'état veut son fric par prélèvement des taxes sur toutes les solutions que vous pourriez inventer.
Alors l’état doit tout contrôler donc, ou interdire tout ce qu'il ne pourra pas contrôler. Dès qu'une solution n'a plus besoin de produits taxables, elle est interdite.
Exemple la Corse manque de courant électrique ? Supposez qu'EDF accepte d'acheter son courant
aux particuliers à un prix normal (juste de quoi assurer une marge honnête). Vous
verrez qu'avec éoliennes, turbines, chaudières, cellules photovoltaïque, le méthane
des poubelles, voire même en pédalant ! tout un chacun pourra arrondir sa fin de mois
et je crois que la Corse finirait même par exporter de l'électricité !
Une solution pour les carburants :
Remplacez la taxe sur les carburants (TIPP) par une taxe sur le kilométrage parcouru (techniquement possible via le GPS) et suprimez la TIPP.
Comme par miracle, vous verrez fleurir cents inventions nouvellles toutes meilleures que le pétrole.
Par définition, le rôle de l’état est de s’occuper de ce qui concerne la distribution des sources d’énergies, liées à l’aspect géographique de l’état lui même, mais pas de s'occuper de la production de l’énergie qui est du domaine économique.
Taxer lourdement l'énergie, et le plus ennuyeux: freiner par des règlementations les nouveautés en ce domaine, revient à créer le même problème que la taxation trop lourde du travail salarié. C'est un frein pour l'économie, pour l'évolution et pour la recherche.
La fiscalité que je propose est de taxer ces produits comme tous les autres biens de consommation. Mais également de leur appliquer les règles de surtaxes ou d'aides liées à la pollution, les entreprises de productions étant favorisées ou
pénalisée suivant la "ligne sociale" en comptabilité en fonction de la qualité environnementale des solutions proposées.