L'argumentaire pouvant permettre
la destitution d'un président.
Réflexions politiques.
Vers une destitution pour non respect de la constitution ?
Le président de la république française aurait trahit la constitution sur tous ces points :
- Ce président garant de la constitution n’a pas réagit lors du vote de l’assemblée nationale concernant leurs propres
retraites et rémunérations en contradiction avec cette loi, ce qu’il a lui-même enfreint avec son propre salaire :
Article 40 : Les propositions et amendements formulés par les membres du Parlement ne sont pas recevables lorsque leur adoption aurait pour conséquence soit une diminution des ressources publiques, soit la création ou l'aggravation d'une charge publique. - Il ne respecte pas de son rôle d’arbitre car il gouverne en lieu et place du Premier Ministre
- Il outrepasse son rôle en s’octroyant l’initiative des lois qui incombe constitutionnellement au Premier Ministre et au parlement.
- Il ne respecte pas la séparation des pouvoirs et s’occupe de législatif alors que c’est le rôle du parlement.
Article 39 : L'initiative des lois appartient concurremment au Premier Ministre et aux membres du Parlement. - Il ne respecte pas la séparation des pouvoir et s’immisce dans les procédures juridiques, déjà en tant que ministre de l’intérieur
Affaire Nelly Cremel ou en réfutant la présomption, d’innocence en traitant d’assassin Yvan Colonna avant tout jugement.
Article 64 : Le Président de la République est garant de l'indépendance de l'autorité judiciaire. - Ce président transgresse la constitution en nommant le trésorier de son parti, sans que celui ne quitte ce poste, ministre, et pire
encore ministre du Budget !
Article 23 : Les fonctions de membre du Gouvernement sont incompatibles avec l'exercice de tout mandat parlementaire, de toute fonction de représentation professionnelle à caractère national et de tout emploi public ou de toute activité professionnelle… - Il déclare "J'écoute mais je ne tiens pas compte" et il ne respecte pas la volonté populaire exprimée par référendum (traité européen).
Article 3 : La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum.
Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice. - Il ne respecte pas l’égalité devant l’impôt avec le bouclier fiscal.
- Il ne respecte pas l’égalité devant la loi en refusant l’épuisement de tous les recours en cas d’expulsion du territoire mais en accordant tous ces recours dans le cas d’une plainte pour racisme contre un ministre.
- Il ne respecte pas la non-rétroactivité des lois en changeant l’engagement contractuel pris envers les salariés concernant les retraites.
- Il transgresse la constitution en engageant la France sur des traités internationaux ou Européens exemple le fond de soutien européen
sans passer par une loi votée au parlement ce qui est contraire à la constitution. (du moins je ne l’ai pas trouvée à ce jour).
Article 53 : Les traités de paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l'organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l'Etat, ceux qui modifient des dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l'état des personnes, ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu'en vertu d'une loi. - Il ne respecte pas la Laïcité en faisant signer des accords tels que l’accord Vatican-Kouchner ou en proclamant "l’instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur"
- Il manque à son devoir en nommant un ministre dont la femme est soupçonnée aider ses clients à faire des évasions fiscales, il paie
très cher un chanteur qui est convaincu d’évasion fiscale pour un concert à l'Elysée, se permet de nommer à la tête d’Orange un de ses amis,
Article 1er (début) La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances... - Il s’attribue de fait tous les pouvoirs en centralisant sur sa personne toutes les décisions jusque dans le domaine culturel (nomination
de directeur de chaîne de télévision, création du Conseil de la création artistique, qu'il préside alors que cela est du ressort du ministère de la
Culture, nomination de présidents de chaîne de télévision) et même dans le domaine sportif.
Article 1er :(suite et fin) La France est une République indivisible,... Son organisation est décentralisée. - Le président agirait en contradiction avec les principaux articles de la constitution dont il est censé être le garant.
Article 5 : Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'Etat…
Vu ces multiples infractions constatées dans le cadre de son mandat de président de la République, Nicolas Sarkosy doit être mis en examen auprès de la seule cour habilitée pour sa situation : « la Cour de justice de la République »
Titre IX - La Haute Cour de Justice
Article 67 : Il est institué une Haute Cour de Justice. Elle est composée de membres élus, en leur sein et en nombre égal, par l'Assemblée Nationale et par le Sénat après chaque renouvellement général ou partiel de ces assemblées. Elle élit son Président parmi ses membres. Une loi organique fixe la composition de la Haute Cour, les règles de son fonctionnement ainsi que la procédure applicable devant elle. Article 68 : Le Président de la République n'est responsable des actes accomplis dans l'exercice de ses fonctions qu'en cas de haute trahison. Il ne peut être mis en accusation que par les deux assemblées statuant par un vote identique au scrutin public et à la majorité absolue des membres les composants ; il est jugé par la Haute Cour de Justice. Titre X - De la responsabilité pénale des membres du gouvernement Article 68-1 : Les membres du gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l'exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment où ils ont été commis. Ils sont jugés par la Cour de justice de la République Article 68-2 : …Toute personne qui se prétend lésée par un crime ou un délit commis par un membre du gouvernement dans l'exercice de ses fonctions peut porter plainte auprès d'une commission des requêtes. |
Vu l'accumulation de ces transgressions supposées, un citoyen s’estimant lésé par ces manquements apparemment commis par
le Président de la République peut-il porter plainte auprès de cette cour de justice ?
Page écrite le 14 juin 2010
Intervenant Criss69 - le 08-07-2014 à 02-00
Franchement, complètement utopique, désincarné, sans compréhension apparente des réels ressort des pouvoirs économiques qui "pilotent" le Politique.
Intervenant patriot75 - le 19-07-2015 à 20-03
Très interessant la Constitution est totalement" oubliée" par le peuple...
Les "sages" du Conseil Constitutionnel n'appliquent pas le respect des textes.
Il faudrait une révolte suivi d'un "coup d'état" pour établir un gouvernement provisoire issu totalement de la société
civile et dans la foulée passer a une VIème République. Virer ces politicards profiteurs du système.
Intervenant didier beurton - le 03-12-2018 à 15-17
Monsieur Serges Petidemange dénonce depuis bien longtemps ces malversations, mais ose dénoncer ,uniquement LES GILETS JAUNE
Intervenant fanfan - le 16-01-2020 à 23-07
a diffuser le plus largement possible !
Intervenant Anonyme - le 17-01-2020 à 16-13
Excellent Merci
Intervenant ANNIE - le 17-01-2020 à 20-04
Aujourd'hui qui a le pouvoir de rendre justice aux Français ?