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Dette indigne (page reçue)
Euro-obligations , règle d’or, gouvernance européenne, « fédéralisme budgétaire… la crise de la dette qui ébranle la France et l’Europe donne lieu à une inflation sans précédent de termes économico-financiers dans les médias et dans les discours des dirigeants politiques.
Pour les citoyens, ce vocabulaire, souvent obscur, dissimule une seule et même réalité :
un gigantesque mouvement de transfert des dettes privées (en particulier celles des banques) vers les dettes publiques pour essayer de faire payer la facture de la crise aux peuples européens,
aux Grecs, aux Irlandais, aux Portugais, aux Espagnols, aux Italiens mais aussi à l’immense majorité des habitants de notre pays.
On peut se demander
a) comment on en est arrivé à une telle situation
b) Sur quoi repose la dette publique
c) Quel est le lien entre la dette et les déficits publics.
Les créanciers des États sont
a) des petits porteurs,
b) des banques,
c) des compagnies d’assurances,
d) des fonds spéculatifs ?
Les agences de notation font trembler les gouvernements.
Il faut rassurer les marchés financiers. Nos enfants supporteront le poids de cette dette sur leurs frêles épaules. D’autres solutions sont possibles.
Non Les conceptions du FMI, des banquiers, des responsables européens ne sont pas une fatalité.
Réponse de Trazibule
a) comment on en est arrivé à une telle situation
Une bette loi mise en place par Pompidou (issu de la Banque Rothschild) puis reprise dans le traité européen, impose aux états d’emprunter aux banques privées, la banque centrale devenue indépendante des états étant seule habilitée à imprimer de la monnaie. Pourquoi ? Les banquiers ont horreur de l’inflation, qui allège les dettes de s pauvres et vide les coffres des riches sans les ouvrir. Alors ils considèrent que les démocraties issues du suffrage ne sont pas compétentes pour gérer l’émission monnaie, ils considèrent aussi que le système capitaliste est le seul valable, donc du haut de leur compétence autoproclamée, les banques se sont arroger le droit de prêter aux états. Depuis c’est la politique du franc fort puis de l’euro fort et son corollaire, le chômage, bonne méthode pour freiner les revendications salariales et accroitre les profits.
Depuis cette époque l’accumulation des intérêts exigés par les banques égale me volume des dettes publiques, la seule dette réelle n’est donc du qu’à la rapacité des banques. Logique car les mouvements monétaires correspondent toujours en fin de compte à la valeur produite par le travail, ces intérêts bancaires ne correspondant à aucune valeur réelle, ils accumulent une valeur fictive.
J’affirme qu’il n’y a pas de déficit public, mais seulement un déficit de fonctionnement que les banquiers ne veulent pas reconnaitre. Ils préfèrent accuser un pays ou un autre, des politiques sociales, ou des défauts de gestion. Mais croyez-vous sincèrement que comme par hasard tous les pays quelques soient leurs différences arrivent à la même impasse en même temps ? Tous auraient été gérés par des incapables simultanément?
b) des banques,
c) des compagnies d’assurances,
d) des fonds spéculatifs ?
Il n’y a qu’une seule forme de créancier de l’état : cette logique absurde qui par des taux d’intérêts parasite les besoins monétaires comme si un médecin prélevait trop de sang jusqu’à l’extinction du bonhomme.
Les pires fraudeurs ne sont pas ceux qu’on nous désigne !
Aujourd’hui les banques centrales n’émettent de la monnaie que pour remplir les banques sous prétextes de dettes encours, de leur coté les peuples doivent alors se saigner encore plus pour payer des intérêts. Le problème est bien structurel puisque même au niveau des collectivités locales, des mairies, des entreprises et souvent au niveau des particuliers on retrouve cette spirale de surendettement. Même au niveau des particuliers !
Tous seraient de mauvais gestionnaires ? Tous auraient eu des rêves de luxe inouï ? Tous auraient dépensé sans compter ?
Non les gens ont besoin de vivre, de travailler, de services publics, l’argent est le sang qui permet ces échanges, freiner le sang et c’est la crise cardiaque, puisque les banques ne savent que boucher les artères, nous devons les forcer à lâcher prise, supprimer ces lois « économicides » sur la création monétaire.
Sinon c’est la famine, l’émeute, la guerre civile ou pire encore qui nous attend…