Les machines nous mettent au chomage,
elles ne payent ni ne réclament des retraites
alors il faut qu'elles assument !
Contre la réforme des retraites imposée par Macron.
Retraités, chômeurs, la solution !
Nos grands chefs nous disent qu’il faut que ceux qui travaillent paient pour que ceux qui ne travaillent pas puissent survivre !
Et si tellement évident qu’ils sortent cet argument pour le chômage, les maladies, les enfants et même pour les retraites.
Mais les mêmes grands chefs nous disent que puisque la machine travaille mieux et plus longtemps que les hommes il faut tout « automatiser », et la machine n’exige pas de retraite.
Aux populations privées de travail, ils expliquent soyez heureux, car grâce aux machines tout est beaucoup moins cher !
Comme ils encaissent moins de profits sur le travail des hommes car ils se plaignent de devoir contribuer pour les inactifs sur le travail de leurs salariés alors ils privilégient le travail des machines où ils peuvent garder tous leurs profits. Oui ils savent se lamenter en expliquant que pour payer leurs chères machines et les remplacer, il faut investir et les aider car cela pourrait créer des emplois. Ils oublient de dire que le but de ces machines est justement de supprimer des emplois.
Mais surtout ils oublient de voir que toute l’instruction publique est aussi un investissement nécessaire pour remplacer les hommes, surtout
s’ils doivent être assez compétents pour construire et utiliser les machines et ce coût là ils le partagent avec leurs impôts.
Imaginez les décisions de l’actionnaire qui gagnent tout sur les machines et seulement ce qui reste après contributions sociales sur le travail humain.
Imaginez aussi un monde où tout serait automatisé tel que quasiment plus personne ne travaille. Mais qui va alors acheter les productions des machines ? Je n’ai jamais rencontré de machines faisant ses achats en magasin.
Logiquement, bien au-delà des raisons morales et du respect des hommes, il sera économiquement nécessaire de payer les gens pour qu’ils achètent.
Mais avec quel argent ? Avec celui que produit les machines bien sûr vu qu’il ne reste que cela.
Donc aujourd’hui nous devons commencer à réfléchir comment prélever l’argent des contributions sociales sur les machines.
Ce n’est plus aux seuls salariés actifs de payer chômage et retraites des inactifs nous devons aussi faire payer les machines.
Et réfléchissez si la mécanisation arrête de rapporter plus que le salariat, alors les grands chefs choisiront de réembaucher, et nos systèmes sociaux, chômage et retraite, seront sauvés.
Comment mettre ce système en place ?
Tout est expliqué, calculé, argumenté en détail dans la proposition dite la "TAC" dont voici une page parmi d'autres et ici le dossier cemplet.